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Du côté des grands électeurs


Ce n’est que ce soir vers 21 heures que le monde entier pourra enfin connaître les résultats définitifs du scrutin le plus attendu de l’année. C’est vers cette heure-là, en effet, que Frédéric Beigbeder et Carole Chrétiennot annonceront à un public souvent lettré et passablement éméché le nom de l’heureux lauréat du 15e Prix de Flore, remis dans le Café du même nom (il n’y a plus qu’au Creusot et aux infos de France Culture qu’on utilise l’adjectif « éponyme », provisoirement banni, donc, de notre playlist). La dernière sélection du jury comprend Polichinelle de Pierric Bailly, La meilleure part des hommes de Tristan Garcia, La domination de Karine Tuil, Faux-père de Philippe Vilain et Saloon d’Aude Walker. De toute façon, on sera agréablement surpris : il n’est techniquement plus possible que le jury fasse un plus mauvais choix qu’en 2006 (Angot) ou 2007 (Nothomb). Nos nombreux envoyés spéciaux sur place ne manqueront pas de vous faire dès demain un compte-rendu détaillé de cet événement historique – à condition, toutefois, qu’au moins l’un d’entre eux se souvienne de sa soirée.



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De l’Autonomie ouvrière à Jalons, en passant par l’Idiot International, la Lettre Ecarlate et la Fondation du 2-Mars, Marc Cohen a traîné dans quelques-unes des conjurations les plus aimables de ces dernières années. On le voit souvent au Flore.

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