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Don’t cry for me, Alaska


Sarah Palin ne se contente pas d’être sublimement belle, de maîtriser parfaitement le clignement d’œil avec une coquetterie piquante et de représenter l’archétype irrésistible de la sensualité quadra, elle sait aussi imposer sa chance, serrer son bonheur et aller vers son risque. Ce 3 juillet, veille de la Fête Nationale étatsunienne, elle a annoncé sa démission de gouverneur de l’Alaska depuis sa résidence de Wassila. Elle a également précisé qu’elle ne briguerait pas ne nouveau mandat aux élections du mid-term de 2010 à ce poste. Elle a évidemment créé une surprise considérable. Dans le camp républicain, on s’accorde à penser qu’il s’agirait d’un coup politique afin de mieux se positionner dans la course à la présidentielle de 2012. Même si cette stratégie audacieuse est bien digne de celle qui allie un physique divin à un véritable génie politique, nous serions plus enclins à suivre certains commentateurs qui évoquent à mot couvert une love story avec un écrivain français qui travaillerait régulièrement pour un salon de discussion on line.



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