Ni lâches ni martyrs


S’exposer à visage découvert en s’exprimant sur l’islamisme, c’est courir le risque de se faire tuer.

L’option héroïque du martyr est d’autant moins recommandable que le risque de mourir va inévitablement peser sur bien des décisions, vu que de notre côté de cette guerre, nous aimons la vie.

Comment ceux qui veulent s’exprimer publiquement et librement sur l’islamisme peuvent-ils échapper au choix d’être ou des lâches ou des martyrs?

Je ne vois qu’une solution : l’anonymat, grâce à un pseudo jamais dévoilé.

À moins que tout le monde signe Edwy Plenel ou Esther Benbassa…



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André Sénik, professeur agrégé de philosophie.

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