Le procureur général du Liban a requis la peine de mort contre Kadhafi et six hauts fonctionnaires libyens, impliqués selon la justice locale dans la mystérieuse disparition, en 1978, de l’imam libanais Mussa el-Sadder, pendant une visite en Libye. Réalistes, les Libanais ajoutent qu’il s’agit d’une démarche essentiellement symbolique et qu’ils estiment peu probable que l’accusé principal se rende à Beyrouth pour y être jugé. Or, le problème, c’est qu’il est peut-être trop tard. Une fois la procédure lancée et publiée, les fonctionnaires libanais ne sont plus maîtres de la situation et Kadhafi, avant même d’avoir été déclaré coupable, risque de mourir de rire.
Vous venez de lire un article en accès libre.
Causeur ne vit que par ses lecteurs, c’est la seule garantie de son indépendance.
Pour nous soutenir, achetez Causeur en kiosque ou abonnez-vous !
Causeur ne vit que par ses lecteurs, c’est la seule garantie de son indépendance.
Pour nous soutenir, achetez Causeur en kiosque ou abonnez-vous !