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Ségolène n’est plus au zénith


Pour tous ceux qui n’ont pas eu la chance de pouvoir assister à la seconde Fête de la fraternitude organisée ce week-end à Montpellier, sachez que Ségolène Royal y a appelé au « dépassement » du Parti socialiste et à la constitution d’un « mouvement puissant et accueillant que le pays attend ». Mais le clou du spectacle, c’était incontestablement sa grande scène du III où l’oratrice a répondu vertement aux critiques dont elle est l’objet à l’intérieur même du PS, et plus spécialement celles de ses anciens amis. Valls, Peillon, Bergé et autres traîtres ne vont pas en dormir la nuit : quand Ségo dégaine la métaphore, c’est du lourd. « Le microcosme parisien a entamé la mise en accusation répétitive et obsessionnelle de la solitude, comme si quelques notables de la politique en attente de jours meilleurs et allant faire leur marché ailleurs comptaient davantage que vous tous, qui donnez généreusement votre temps, vos déplacements, vos énergies. » On espère sincèrement que le charlot qui a écrit ce discours ne l’a pas facturé 40 000 € à Désirs d’avenir…



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De l’Autonomie ouvrière à Jalons, en passant par l’Idiot International, la Lettre Ecarlate et la Fondation du 2-Mars, Marc Cohen a traîné dans quelques-unes des conjurations les plus aimables de ces dernières années. On le voit souvent au Flore.

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