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Euthanasie: éclairer le débat français à la lumière des dérives dystopiques de l’étranger

Partout où elle est légalisée, l’exception tend à devenir la norme


Euthanasie: éclairer le débat français à la lumière des dérives dystopiques de l’étranger
La Rochelle, 1998 © AUGE/SIPA

Cette enquête revient sur les non-dits effroyables de la légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté. Après leur adoption à l’Assemblée nationale, les sénateurs devaient examiner au mois d’octobre les textes sur la fin de vie et les soins palliatifs.


«Lorsqu’un pays – une société, une civilisation –  en vient à légaliser l’euthanasie, il perd à mes yeux tout droit au respect»[1] écrivait Michel Houellebecq en 2022 dans les colonnes du Figaro. Alors que les sénateurs s’apprêtent à valider la loi légalisant le suicide assisté et l’euthanasie, soutenue par l’exécutif et votée en mai 2025 à l’Assemblée nationale, un rappel des pires dérives observées à l’étranger s’impose en vue d’éclairer le public.

Le 10 mars 2024, Emmanuel Macron a annoncé un projet de loi pour une « aide à mourir« [2]. Il a été présenté en Conseil des ministres en avril 2024. La loi légalisant l’euthanasie et le suicide assisté a été votée, le 27 mai 2025, à l’Assemblée nationale – avec 305 voix pour, sur les 504 exprimées -« sans pour autant que ces mots jugés connotés négativement ne figurent dans le texte »[3]. Le Sénat s’exprimera très prochainement.

La plupart des Français pensent que l’aide à mourir est préférable lorsqu’en fin de vie, on veut éviter des souffrances inutiles. Mais peu d’entre eux savent quelles dérives funestes potentielles se cachent derrière sa légalisation. En témoignent les exemples ci-après qui ont défrayé la chronique dans les autres pays occidentaux[4], le bloc occidental, comme animé de pulsions suicidaires, étant le seul au monde à banaliser cette pratique.

La stratégie trompeuse du « pied dans la porte » : un élargissement du champ d’application de l’aide à mourir au fil des années  

A l’étranger, les législateurs favorables à la dépénalisation de l’euthanasie et/ou du suicide assisté avaient promis des limites et un cadre strict à l’application de la loi. Force est de constater que la réalité y a souvent pris un tour tragique et sordide, surtout lorsque l’aide à mourir est proposée à des patients psychiatriques, à des indigents, à des personnes sans-abri, à des soldats blessés en opération et, comble de l’horreur, à des enfants! Car, comme le faisait remarquer l’essayiste Aurélien Marq en mai 2025, « l’expérience des pays qui ont déjà légalisé l’euthanasie est sans équivoque, et les promoteurs de l’euthanasie le revendiquent explicitement, comme Jean-Louis Touraine parlant de « pied dans la porte » et annonçant « revenir tous les ans » pour la suite du programme : les mineurs, les malades psychiatriques, les malades d’Alzheimer »[5]. C’est ainsi que ce système conçu pour s’appliquer à des cas relativement rares, a rapidement montré sa vocation à s’étendre sans limite.

Dans un rapport de la fondation Fondapol intitulé : « Les non-dits économiques et sociaux du débat sur la fin de vie » (janvier 2025), les chercheurs Pascale Favre et Yves-Marie Doublet, qui ont étudié les résultats de la décriminalisation de l’euthanasie dans plusieurs pays font remarquer que « le recours ultime, l’exception cèdent la place à la banalisation. La médecine devient une prestation de service. Ces mises en garde existent depuis longtemps ; elles se sont développées avec l’élargissement constant des pratiques, lequel apparaît comme une évolution inéluctable de la loi initiale »[6].

Pays-Bas et Belgique : la grande faucheuse ratisse large !

Aux Pays-Bas et en Belgique, du berceau à la maison de retraite, nourrissons, mineurs de tous âges, autistes, personnes âgées et personnes en bonne santé physique sont désormais concernés ! 

En 2001, les Pays-Bas ont été le premier pays à autoriser la pratique de l’euthanasie active. En 2004, l’aide à mourir a été élargie aux enfants de 12 ans et, depuis avril 2023, dans le sillage de la Belgique, elle a été étendue à tous les enfants et même aux bébés[7]. Précédemment, les mineurs de plus de 12 ans pouvaient demander l’euthanasie avec le consentement d’un tuteur requis jusqu’à 16 ans. Désormais, les bébés et les enfants de tous âges atteints de maladies incurables peuvent être euthanasiés, sur proposition d’un médecin avec tout de même le consentement des parents !

Face à un tel basculement, le professeur d’éthique de la santé Theo Boer, qui fut membre du comité néerlandais sur l’euthanasie et ancien défenseur de l’aide à mourir, s’alarme de l’expansion constante du système d’euthanasie et de ses critères d’éligibilité. Elle représente jusqu’à un décès sur six dans certaines régions du pays.

« L’euthanasie aux Pays-Bas est désormais accessible aux enfants, et même aux nourrissons, de tous âges, et il y a des tentatives continues de l’étendre à toute personne de plus de 74 ans qui considère sa vie comme « complète ». En mai 2023, une étude de l’université de Kingston a révélé qu’il y avait eu 39 cas d’euthanasie dans le pays pour des personnes ayant des déficiences intellectuelles, de l’autisme ou les deux. Nous avons également eu notre lot d’histoires controversées, y compris un cas bien connu en 2018 impliquant une femme atteinte de démence, euthanasiée apparemment contre sa volonté »[8], écrit-il désabusé.

Pour rappel, en 2019, la justice néerlandaise a acquitté une femme médecin accusée de ne pas s’être correctement assurée du consentement d’une patiente atteinte de la maladie d’Alzheimer. La patiente, qui avait changé d’avis, avait été sédatée à son insu, puis lorsqu’elle s’est débattue pour résister à l’injection létale, elle a dû été être maîtrisée avant d’être euthanasiée ! La juge a tranché : « Nous concluons que toutes les exigences de la législation sur l’euthanasie ont été satisfaites. Par conséquent, la suspecte est acquittée de toute charge ». « Nous pensons que, étant donné l’état de démence profonde de la patiente, la médecin n’avait pas besoin de vérifier son désir d’euthanasie »[9]

A noter que les injections létales agissant plus ou moins rapidement en fonction du poison utilisé (parfois jusqu’à 24 heures !), les patients sont d’abord « sédatés »[10] ce qui entraîne leur paralysie.

En Belgique, « une dégénérescence maculaire liée à l’âge peut être un motif d’euthanasie, dans le cadre des polypathologies du vieillissement, dès lors qu’une souffrance est invoquée. Pourtant, ce n’est pas une maladie qui met en jeu le pronostic vital », souligne le rapport susmentionné de la Fondapol. Autre cas sordide : en 2022, une femme belge de 36 ans, qui souffrait d’un cancer en phase terminale, avait demandé l’aide à mourir, mais en raison de difficultés pratiques de dernière minute, elle a finalement été étouffée par l’équipe médicale avec un oreiller[11] !

Au Canada, 50 nuances d’horreur

Au Canada, l’euthanasie est proposée à des blessés de guerre dans la précarité et elle le sera probablement bientôt à des ados à l’insu de leurs parents ! En 2024, on enregistrait 16 600 décès, soit près de 5% de tous les décès dans le pays, avec un record de 6,6% au Québec.

L’euthanasie a été décriminalisée en 2014 au Québec, puis dans l’ensemble des provinces canadiennes en 2016. L’assistance médicale à mourir (AMM en français ou MAID en anglais, Medical Assistance In Dying) ne devait à l’origine ne concerner que les malades en phase terminale. Une décennie plus tard, un individu a été euthanasié à défaut de ne pas avoir trouvé un logement afin d’accommoder son handicap[12]. Avec la crise aiguë du logement, l’explosion du nombre de sans-abri et de toxicomanes dans les grandes villes du pays, la pression s’accroît de manière alarmante sur les personnes les plus vulnérables.

Dès 2022, la présidente de la Commission canadienne des droits de la personne, Marie-Claude Landry,tirait la sonnette d’alarme en déclarant que « l’aide médicale à mourir ne peut être un substitut lorsque le Canada manque à remplir ses obligations en matière de droits de la personne. À une époque où nous reconnaissons le droit de mourir dans la dignité, nous devons faire davantage pour garantir le droit de vivre dans la dignité »[13]

En témoigne le scandale ACC-AMM (Anciens Combattants Canada – Aide médicale à mourir), révélé par Mark Meincke, vétéran des Forces armées canadiennes, grâce à son émission en ligne « Opération Tango Romeo » sur la guérison des traumatismes de guerre. Une vingtaine de soldats canadiens blessés en opération, notamment en Afghanistan, ou souffrant de stress post-traumatique, se sont ainsi vu proposer le suicide assisté par des fonctionnaires du ministère des Anciens combattants[14]. Oliver Thorne, du Veterans Transition Network, a d’ailleurs reconnu à cet égard : « Je crains que nous offrions aux gens un moyen de mettre fin à leurs jours, alors qu’il existe des traitements, mais ces traitements sont plus difficiles d’accès que la mort médicalement assistée »[15].

On notera l’exemple particulièrement révoltant de la caporale paralympienne canadienne Christine Gauthier qui, lors de son témoignage devant le Comité permanent des anciens combattants de la Chambre des communes, a révélé que le ministère lui avait proposé le suicide assisté en réponse à sa demande d’aide gouvernementale pour obtenir une rampe d’accès pour fauteuils roulants chez elle[16].

Plus épouvantable encore, l’élargissement prochain de l’aide à mourir aux adolescents canadiens « dont la mort naturelle est jugée raisonnablement prévisible » et ce, à l’insu de leurs parents. C’est exactement ce que recommande un rapport publié par en 2023 par un comité composé de députés et de sénateurs au niveau fédéral[17]. Les parents sont également mis à l’écart en ce qui concerne la transition de genre, tandis que le consentement parental est toujours obligatoire pour se faire tatouer ou même se faire percer les oreilles ! L’association Parents As First Educators (PAFE) est montée au créneau devant de telles absurdités. Elle redoute que, tôt au tard, le gouvernement fédéral n’autorise l’aide à mourir à tous les enfants, par exemple aux adolescents dépressifs sans que les parents ne soient mis au courant[18]. A noter tout de même que, dans la même optique malsaine, nos parlementaires français ont voté un délit d’entrave à l’accès à l’aide à mourir, puni de deux ans de prison et de 30 000 euros d’amende !

Le choix de donner la mort aux patients plutôt que de développer les soins palliatifs

Le docteur Marie-Josée Masanès, pneumologue, témoigne de ce qui se passe dans le huis clos des hôpitaux français[19] : « En 35 ans d’activité professionnelle orientée oncologie à l’hôpital, dont 12 ans pour mettre en place les soins palliatifs dans le service de pneumologie où je travaillais, j’ai pu constater que ce sont les familles qui demandent l’euthanasie, pas le patient ! C’est une demande de bien portant ! Le patient, lui, demande qu’on le considère comme une personne vivante, qu’on l’écoute et qu’on lui donne au moins un peu de confort. C’est la mission des soins palliatifs. Il est surréaliste de vouloir autoriser et développer l’euthanasie tant que notre pays ne se sera pas donné les moyens de mettre les soins palliatifs à la portée de tous les patients ». 

« Lorsqu’il n’y a plus de possibilité de soulager, la loi Leonetti autorise le recours à la sédation transitoire (le temps de refaire un point sur l’état du patient) ou terminale [pour induire un sommeil profond]. Et la sédation n’est pas une euthanasie. Elle est réversible et peut permettre de passer un cap difficile. Or, ce temps qui est pris pour accompagner est bénéfique pour tout le monde : le patient qui reste un être vivant, la famille dont le travail de deuil sera préparé en amont et l’équipe soignante qui ne s’est pas engagée dans ce métier pour tuer ! »

Donner la mort pour renflouer les caisses de l’Etat ?

Avec la légalisation de l’euthanasie, « ce qui est présenté comme un choix pour « les plus forts » pourrait bien être une incitation pour « les plus faibles ». Ce sont ces données qu’il convient de rappeler à la veille d’une reprise du débat sur la légalisation de la mort provoquée », alertaient Pascale Favre et Yves-Marie Doublet en janvier 2025.A la clé: une économie évaluée à 1,4 milliard € par an[20]! Il se trouve que les complémentaires santé soutiennent la légalisation de la mort provoquée « avec en toile de fond un déficit considérable des finances publiques et de nos régimes sociaux et une dégradation de la note de la France sur les marchés »[21].

Au Canada, « au vu de l’inégalité d’accès aux soins palliatifs dans le système de santé, les inquiétudes sur son utilisation – et le profit qui pourrait en être dégagé – ne sont pas infondées : dans un rapport parlementaire, le pays revendique les gains nets que lui procure la mort administrée, soit 87 millions de dollars canadiens », écrit Paul Chambellant dans un article du Point intitulé « Loi sur la fin de vie : au Canada, le difficile encadrement des dérives »[22].

Dans un tel contexte, la vente d’organes, prélevés sur des personnes euthanasiées constitue le point d’orgue de la dérive marchande scandaleuse de l’aide à mourir. Le Canada se retrouve à la première place dans ce domaine[23]. Tout comme en France (on l’a vu lors de l’attentat de Nice, où des organes ont été prélevés sur des enfants sans le consentement de leurs familles pour les besoins de l’enquête), on note que toutes les personnes présentes dans le pays sont considérées comme consentantes pour le don d’organes et qu’il faut remplir un formulaire spécial pour refuser le don automatique d’organes.

En conclusion, la question cynique qui sous-tend en filigrane les déclarations prétendument humanistes sous prétexte d’allègement de la souffrance humaine, semble être la suivante : faut-il proposer l’aide mourir à toutes les personnes jugées « inutiles à la société » et considérées comme des fardeaux financiers pour la collectivité ?

Il est ainsi douloureux de constater que la notion de « vies indignes d’être vécues », qui fut autrefois le leitmotiv des eugénistes les plus virulents dans l’histoire de l’humanité, est en train de ressurgir de manière particulièrement sordide, dans des pays où l’euthanasie et le suicide assisté ont été légalisés. Dans le film dystopique Soleil vert (1973), les gens en arrivent à demander à se faire euthanasier tant ils sont englués dans des conditions de vie déplorables créées délibérément par une élite régnant sur des masses populaires misérables[24].

A ce stade, la réalité a presque dépassé la fiction. Les personnes de bonne foi qui croient sincèrement que la loi sur l’aide à mourir, qui doit encore être validée par le Sénat français incessamment sous peu, va permettre de « mourir dans la dignité », s’exposent à d’immenses désillusions.


[1] https://www.lefigaro.fr/vox/societe/michel-houellebecq-une-civilisation-qui-legalise-l-euthanasie-perd-tout-droit-au-respect-20210405

[2] Selon Public Sénat : « L’aide à mourir consiste à autoriser et à accompagner une personne qui en a exprimé la demande à recourir à une substance létale », indique l’article 2. Le malade devra s’administrer lui-même le produit, c’est l’une des principales règles fixées par les députés, à partir d’un amendement du gouvernement. Seule dérogation possible : « Lorsque la personne n’est pas en mesure physiquement d’y procéder », elle pourra alors se faire administrer la substance par un médecin ou un infirmier. [https://www.publicsenat.fr/actualites/parlementaire/aide-a-mourir-ce-que-contiennent-les-deux-textes-sur-la-fin-de-vie-bientot-examines-au-senat]

[3] https://www.lefigaro.fr/flash-actu/fin-de-vie-la-loi-sur-l-aide-a-mourir-examinee-au-senat-a-partir-du-7-octobre-20250702?msockid=1633e42e45b96af718a9f1ea44006b01

[4] Belgique (2002), Luxembourg (2009), Pays-Bas (2002), Espagne (2020), Portugal (2021), mais aussi Canada (2026), Etats-Unis (certains Etats : OregonWashingtonMontanaVermont et Californie), Colombie (1997), Australie (2024) et Nouvelle-Zélande (2021).  En Suisse, l’euthanasie active reste interdite, mais le suicide assisté est autorisé.  [https://www.touteleurope.eu/societe/l-euthanasie-en-europe/]

[5] https://www.causeur.fr/euthanasie-le-pied-dans-la-porte-310402

[6] https://www.fondapol.org/dans-les-medias/leuthanasie-permettrait-deconomiser-14-milliard-deuros-par-an/

[7] https://www.jpost.com/health-and-wellness/article-739852

[8]https://www.spectator.co.uk/article/on-assisted-dying-britain-must-learn-from-the-netherlands/

[9] https://genethique.org/pays-bas-le-medecin-accuse-deuthanasie-est-acquitte/

[10]https://www.cbip.be/fr/gows/3974?matches=l%27euthanasie%7Ceuthanasie%7Cl%E2%80%99euthanasie

[11] https://www.lesoir.be/535429/article/2023-09-06/un-accompagnement-de-fin-de-vie-tourne-letouffement-au-coussin

[12] https://www.ccdp-chrc.gc.ca/ressources/salle-des-nouvelles/laide-medicale-mourir-ne-peut-etre-la-reponse-linegalite-sociale

[13] https://www.ccdp-chrc.gc.ca/ressources/salle-des-nouvelles/laide-medicale-mourir-ne-peut-etre-la-reponse-linegalite-sociale

[14]https://www.cqv.qc.ca/un_autre_veteran_en_difficulte_affirme_qu_anciens_combattants_canada_lui_a_propose_l_euthanasie

[15] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1938653/aide-medicale-mourir-veterans-sante-mentale-gouvernement-federal

[16] https://www.independent.co.uk/news/world/americas/christine-gauthier-paralympian-euthanasia-canada-b2238319.html

[17] https://www.parl.ca/documentviewer/en/44-1/AMAD/report-2

[18] https://www.pafe.ca/is_euthanasia_coming_for_kids_in_canada

[19] Entretien avec l’auteure, 8 octobre 2025.

[20] https://www.lepoint.fr/postillon/l-euthanasie-permettrait-d-economiser-1-4-milliard-d-euros-par-an-08-02-2025-2581832_3961.php

[21] https://www.fondapol.org/etude/les-non-dits-economiques-et-sociaux-du-debat-sur-la-fin-de-vie/

[22] https://www.lepoint.fr/monde/loi-sur-la-fin-de-vie-au-canada-le-difficile-encadrement-des-derives-30-05-2024-2561585_24.php

[23] https://www.ctvnews.ca/health/article/canada-performing-more-organ-transplants-from-maid-donors-than-any-country-in-the-world/

[24] https://theconversation.com/soleil-vert-et-plan-75-deux-films-dystopiques-pour-alimenter-la-reflexion-sur-leuthanasie-192136



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Analyste géopolitique (Russie, Turquie), auteur et spécialiste en relations internationales et en études stratégiques.

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