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DSK, triviales poursuites


A propos de qui Hervé Morin a-t-il déclaré : « Ce n’est pas mon ami politique, mais pour autant je revendique pour lui la présomption d’innocence  » ?

De qui Ségolène Royal parlait-elle en martelant à quinze reprises à Jean-Pierre Elkabbach : « Tout reste à vérifier » ?

Dans quelle affaire François Hollande a-t-il ainsi mis les journalistes en garde : «Il faut faire très attention, il n’y a pas de preuve de culpabilité« ?

Quel inculpé le porte-parole du gouvernement s’est-il – fort à propos – refusé à condamner d’avance sans preuves ni jugement en recommandant à tous d’ « être d’une extraordinaire prudence dans l’expression, dans l’analyse, dans les commentaires et dans les conséquences » ?

Si vous avez répondu Laurent Blanc, Eric Woerth ou même Xavier Dupont de Ligonnès, vous avez tout faux. A moins que ce soient les tenants de la présomption d’innocence à géométrie variable qui, en vrai, ont tout faux…



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De l’Autonomie ouvrière à Jalons, en passant par l’Idiot International, la Lettre Ecarlate et la Fondation du 2-Mars, Marc Cohen a traîné dans quelques-unes des conjurations les plus aimables de ces dernières années. On le voit souvent au Flore.

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