Nouveauté kiosques: nous nous sommes jetés sur le premier numéro du trimestriel écolo et féministe
Quand la nuit tombe sur les bois, la chouette hulule, la chauve-souris effraie et la sorcière glapit ses incantations – sous la lune exactement. C’est un phénomène hors d’âge, qui fait l’objet d’images d’Épinal, de thèses en Sorbonne et qui n’inquiète plus les agents de l’Office national des eaux et forêts, accoutumés à la fréquentation de tout type d’espèces animales. Ce qui est plus nouveau, c’est l’émergence de la néo-sorcière new age, née de la cuisse du néoféminisme. Si les sorcières de jadis communiaient avec la nature, brûlaient de l’encens ou flambaient sur des bûchers, les sorcières d’aujourd’hui sont des militantes ou des influenceuses qui entendent propager leur nouvelle définition de la femme débridée et dominatrice. Aux sorcières d’aujourd’hui il faut des sororités. Et des références : Les Sorcières de Salem d’Arthur Miller,