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Et une fois les abayas remisées au placard, Monsieur Attal?

Gabriel Attal, l'acteur change, le scénario reste


Et une fois les abayas remisées au placard, Monsieur Attal?
Le ministre de l'Éducation nationale, Gabriel Attal, à Dijon, 22 août 2024 © KONRAD K./SIPA

En excluant les sinistres abayas et autres grotesques qamis des élèves musulmans de nos collèges et lycées (lire encadré en fin d’article), et en replaçant les épreuves de spécialité du bac en juin, le ministre a fait des annonces bienvenues hier soir. Mais en réalité avec Gabriel Attal, l’acteur change mais le scenario reste. Analyse.


Il aura suffi de quelques mots lâchés lors d’une de ces visites Potemkine dont sont coutumiers les ministres de l’Éducation nationale, pour voir fleurir des paroles d’espérance un peu partout. Le retour à l’ordre et au respect serait là et nous aurions à la fois échappé à une grande braderie de la laïcité et à un relâchement des mœurs par éducation sexuelle intensive en classe. Maîtrisant mieux son sujet, meilleur orateur que son prédécesseur et politicien de métier, Gabriel Attal a, sans surprise, réussi un prologue adapté à notre théâtrocratie. Mais au-delà de notre satisfaction à passer du théâtre amateur de la 6èmeB à la Comédie Française, y a-t-il réellement du mieux à attendre pour le secteur éducatif français ?


Les implacables tendances lourdes

En cette rentrée 2023, bien des voyants sont au rouge. Le « choc d’attractivité » n’a pas eu lieu. Les hausses de rémunération, essentiellement concentrées sur les débutants, ont réussi le double exploit de ne pas attirer plus de nouveaux tout en écœurant les anciens. Pour ces derniers, c’est la double peine : le gel du point d’indice a érodé leur pouvoir d’achat (entre 15 et 25% de perte au cours des 20 dernières années selon un rapport du Sénat)  aussi sûrement que les réformes successives ont détruit le sens de leur métier.

Toujours plus de paperasse, toujours moins de contenu à enseigner : ayant vendu la réussite pour tous, l’institution tient à disposer de preuves en cas d’action en justice de la clientèle insatisfaite. P.P.R.E., P.A.P., P.P.S., A.P.C.[1], l’Education nationale n’est pas avare de sigles pour intituler les dossiers à remplir dans ses écoles primaires. Peu importe que Nicolas Sarkozy ait amorcé la suppression de milliers de postes dans les Réseaux d’Aides Spécialisée aux Elèves en Difficulté et qu’il soit de plus en plus en plus difficile d’obtenir un avis ou une aide experte. Peu importe qu’il manque partout des médecins, des infirmières et des psychologues scolaires alors que des cas de plus de plus complexes sont amenés dans les classes par l’utopie de l’ « École inclusive ». La trace papier, rédigée tant bien que mal par l’enseignant, tient lieu d’expertise.

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Les compétences nécessaires à l’analyse des cas complexes, le professeur des écoles les bricole seul car désormais il ne choisit plus sa formation continue, elle lui est imposée, sans aucune prise en compte de ses besoins personnels et se limite à quelques montages sous PowerPoint à ingurgiter en ligne ou à l’observation des pratiques d’un collègue pompeusement appelée « Regards croisés ». Logique de résultat évaluée par compilation de la paperasse en tableaux de bord et compression des coûts, tout est là, conformément à la LOLF (loi organique relative aux lois de finances) qui, en 2006 a formalisé l’objectif d’encourager le passage d’une « logique de moyens » à une « logique de résultats ». L’absence d’effets positifs palpables aujourd’hui ne saurait être due qu’à une stratégie pas encore poussée assez loin…

À tout cela s’ajoutent des programmes et consignes loin des exigences disciplinaires auxquelles chaque ministre se prétend pourtant attaché :  chanter le jour de la rentrée pour Jean-Michel Blanquer, semaine olympique pour Pap Ndiaye, toujours plus d’écrans malgré la nocivité démontrée sur les jeunes enfants, passé simple enseigné uniquement à la 3ème personne et géographie limitée à des thèmes sociétaux (« Habiter un éco-quartier », « savoir se déplacer »…). Rien n’est venu freiner la course au néant entamée dès 2000 par les directives du Conseil européen de Lisbonne, ce formidable corpus d’actions dont Jean-Paul Brighelli résume parfaitement les mérites en écrivant qu’il «  a divisé une fois pour toutes les « apprenants » en 10% de futurs cadres et 90% d’hilotes ubérisés ».

Enfin, pour cerner parfaitement le cœur du réacteur idéologique qui irradie dans tous les cercles décisionnels, il faut inclure les théories du capital humain qui font de chaque individu un simple contenant de connaissances valorisables économiquement. Le savoir n’est qu’une marchandise comme une autre et un facteur de production. Le vocabulaire ne trompe pas : nous sommes à l’heure des « ressources humaines ». A l’aune de cette vision, ParcourSup devient outil de maximisation du rendement éducatif. Pourquoi prendre le risque de donner sa chance de se révéler, dans le supérieur, à un élève moyen d’établissement ordinaire quand un algorithme froid peut sélectionner les spécimens présentant la plus grande probabilité de retour sur investissement ?  De même, à quoi bon offrir à tous culture générale et capacité à penser pour et par soi-même lorsque l’on peut se limiter à greffer sur un support humain les seules compétences utiles aux entreprises ?  « Savoir trouver et utiliser de l’information », « savoir communiquer pour travailler en équipe » et « comprendre les relations d’une unité systémique de base » suffisent à suivre un cheminement solitaire de réceptacle à compétences. Exit les corpus disciplinaires mobilisables en soi-même pour élaborer une pensée riche et complexe. Chaque individu est désormais seul avec « la formation tout au long de la vie »  dont le site education.gouv brosse un tableau enthousiaste alors que ce modèle abandonne chaque élève à d’hypothétiques possibilités de se qualifier ultérieurement en entreprise, là où autrefois, l’État validait, par un diplôme reconnu sur tout le territoire et même au-delà, sa qualification. Pour un tel objectif, les programmes très allégés sous François Hollande sont nettement suffisants et sous l’ère Macron pas même une virgule n’en a été changée dans le premier degré.

L’horizon indépassable du scénario de l’Institut Montaigne

Choisir Fanny Anor, ancienne collaboratrice de l’Institut Montaigne comme directrice de cabinet signe l’adhésion totale de Gabriel Attal à ces doctrines qui n’ont, de toute façon, jamais cessé d’être à l’œuvre derrière le paravent Ndiaye. Sa confiance en les préconisations de ce think tank libéral si cher à Jean-Michel Blanquer est perceptible dès ses premières déclarations. Ainsi, concernant l’uniforme, le ministre précise : « Si la communauté éducative d’un établissement demande à l’expérimenter […] j’y suis favorable », se bâtissant à peu de frais l’image d’un acteur volontariste du retour à une forme de rigueur, tout en occupant le monde politico-médiatique autour d’un débat sociétal ponctuel.

Il y a pourtant bien plus à voir dans cette phrase : elle est l’expression claire de l’objectif d’autonomie des établissements, déjà présent dans le premier livre de Jean-Michel Blanquer. Que la Suède, parce que le réel lui a prouvé la toxicité de ce choix, revienne en arrière et invalide cette hypothèse d’efficacité d’un management local des unités d’enseignement, ne fait rien à l’affaire. Que cette « libération de l’intelligence des acteurs de terrain » couplée au libre-choix de son école ait conduit dans les pays où elle est déjà en vigueur  à un accroissement de la ségrégation sociale et ethnique n’altère en rien la foi que le salut du système éducatif passe par la seule mise en concurrence d’écoles-entreprises destinées à des parents-clients.

Sur les idéologues, le réel n’a pas de prise. Il suffit pour s’en convaincre de lire « Le grand décryptage du quinquennat Macron » dans sa partie éducation, rédigée par Baptiste Larseneur, « responsable des projets liés au développement du capital humain » à l’Institut Montaigne. Il s’y enthousiasme sur la politique de dédoublement des CP et CE1 et de plafonnement à 24 élèves des grandes sections de maternelle et souligne les études qui démontrent la corrélation positive entre nombre d’élèves et résultat. En revanche, il oublie la répercussion mathématique sur les effectifs des autres niveaux désormais surchargés par impossibilité d’assurer une répartition plus équitable en jouant sur l’ensemble des classes, quitte à faire cohabiter des niveaux différents. C’est ainsi qu’il n’est pas rare de voir des classes dépasser la trentaine par impossibilité de faire glisser en cascade quelques élèves sur les niveaux de CP, CE1 ou grande section désormais sanctuarisés. De même, Baptiste Larseneur glorifie sans nuance, l’instruction obligatoire instaurée dès trois ans sans évoquer la dégradation des conditions d’apprentissage d’élèves dont les enseignants et ATSEM (agent territorial spécialisé des écoles maternelles) sont parfois absorbés par la gestion des changements de couches et l’encadrement d’enfants pas assez matures pour une entrée sereine en maternelle. Pas un mot non plus sur l’école inclusive, objectif louable perverti par l’obligation d’accueil inconditionnel de tout type d’élève handicapé, sans aucune prise en compte de l’impact parfois très lourd sur la qualité de vie des autres élèves. Enfin, il parle de l’assouplissement des rythmes scolaires sans jamais rappeler que l’échec de ce projet phare du quinquennat Hollande démontre à lui seul les ravages d’un pilotage local des activités dans un contexte d’inégalités territoriales… Les hommes changent, mais les pratiques demeurent : aveuglement idéologique et étanchéité au réel vont donc continuer d’orienter les politiques éducatives.

L’insurmontable déni des spécificités du secteur public

À ces œillères idéologiques, s’ajoute un aveuglement spécifique dont le symptôme est la mise en place du Pacte enseignant, présenté par Gabriel Attal comme une source d’augmentations substantielles des rémunérations. Outil de limitation de la nécessaire (et promise) revalorisation des enseignants, puisqu’il ne concernera que quelques-uns, le Pacte permet de céder aux sirènes du salaire au mérite : les professeurs qui accepteront certaines missions sélectionnées par le ministère seront plus méritants, donc mieux rémunérés.

Cette dernière invention relève d’un déni particulier, celui qui consiste à refuser d’envisager comme spécifiques les motivations des enseignants. Le postulat de base est donc l’homogénéité public/privé totale du rapport à leur profession des travailleurs. Or pour les professeurs, les motifs affectifs d’engagement et l’importance du sens de la mission tiennent une place centrale. De plus, la difficulté à fixer des critères et objectifs de « rendement » ou d’excellence pertinents en éducation, les rend attachés à des rémunérations statutaires fixes, par crainte de pratiques opaques, tenant plus de la gratification par connivence que de la juste appréciation d’un objectif atteint.

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Enfin, le cœur de leur travail qu’est la transmission du savoir se fait déjà en assumant de multiples tâches annexes : former en urgence des collègues recrutés en catastrophe par « speed dating », compenser leur inexpérience, lutter contre la violence, le harcèlement, l’obésité, s’improviser éducateur spécialisé, remplir des livrets nébuleux, s’engager dans des projets hors sol destinés à servir la communication et la carrière des cadres… Dans un tel contexte comment ne pas percevoir comme une provocation une individualisation des rémunérations, qui ne valoriserait que certains engagements ? Même si Gabriel Attal prétend être à l’écoute de ses troupes, il ne mettra rien en œuvre pour revenir sur cette gangrène des tâches annexes, porteuse, avec l’allègement des contenus, d’une cruelle perte du sens. Pire, l’opacité des critères de sélection des candidats au Pacte s’apprête à dégrader encore un peu plus l’ambiance dans les équipes, alors que dans la chaleur du mois de juin, le discours régurgité par des directeurs rapidement nourris en amont d’un PowerPoint bien lisse était déjà mal passé.  

La réalité observée est donc bien conforme aux nombreuses études relevées par Virginie Forest, qui démontrent  « un effet mitigé voire négatif »  du salaire au mérite dans la fonction publique, effet dû à des « dysfonctionnement relatifs aux procédures d’évaluation, et l’imprécision, voire l’inadaptation des objectifs ». La publication, en plein cœur de l’été ainsi qu’il est d’usage pour les textes contestables ou impopulaires, de la note de service précisant les modalités de mise en œuvre, achève de nourrir la méfiance d’une très grande majorité d’enseignants. L’adhésion au système devrait donc se limiter à la recherche de compensation d’un salaire trop faible. Nous voici bien loin de toute idée de motivation des personnels, ce qui n’empêchera pas Gabriel Attal de s’afficher dans les cours de soutien du Pacte auprès d’enseignants briefés par son équipe en amont pour assurer un sourire vendeur.

Gabriel Attal ne constitue donc en rien une rupture. Le jeune ministre, fidèle de la première heure et politicien de carrière, vient juste de mettre un terme à l’expérience de communication Ndiaye. Choisi comme tête de gondole électorale, l’universitaire aura été ce que le blanc de Meudon est aux vitrines en cours d’élaboration : un camouflage rapide, suscitant l’attente de la nouvelle collection qui n’entrave en rien la marche du business dans l’espace de vente. Tout comme lui, Gabriel Attal va s’employer à concevoir une chorégraphie éphémère sur le trottoir de la boutique, simple agitation de surface sans effet sur l’écosystème à l’œuvre au fond du marigot. Une fois de plus, il s’agit de tout changer pour que rien ne change à la partition écrite, il y a longtemps, pour l’ensemble des services publics.


Interdiction de l’abaya, coup de com ou action véritable ?
« Gabriel Attal interdit enfin l’abaya ! » peut-on lire et entendre partout. De Twitter aux gazettes, des plateaux de  télé aux radios, sonnez hautbois,  résonnez musettes ! Et si nous prenions le temps de revenir aux mots exacts du ministre et à la réalité du terrain ?
Soyons factuels. Sur le plateau du 20h de TF1, ce dimanche 27 août, Gabriel  Attal a tout d’abord déclaré : « L’école de la République s’est construite autour de valeurs et de principes extrêmement forts, notamment la laïcité. La laïcité, ce n’est pas une contrainte, c’est une liberté. C’est une liberté de se forger son opinion et de s’émanciper par l’école. Pour moi, la laïcité dans un cadre scolaire, c’est quelque chose de très clair : quand vous rentrez dans une salle de classe vous ne devez pas être capable de distinguer et d’identifier la religion des élèves en les regardant ». Libre à lui de penser cela, mais, pour les enseignants, la réalité est moins simple.
Revenons au Code de l’éducation : « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit ». Depuis près de 20 ans, tous les conflits possibles tiennent en un seul mot : « ostensiblement ». Son interprétation est si complexe qu’il ne faut pas moins de trois pages au Vademecum de la laïcité pour tenter d’éclaircir la chose, sans y parvenir vraiment, puisqu’on peut y lire que « les élèves peuvent porter des signes religieux discrets » – ce qui peut largement suffire à identifier la nature de leur foi. Le réel ne se plie donc pas aux rêves du ministre, qu’il l’ignore ou feigne de l’ignorer est inquiétant.
Questionné plus précisément sur l’abaya, Gabriel Attal poursuit: « Je vous annonce, j’ai décidé qu’on ne pourrait plus porter l’abaya à l’école. Je vais m’entretenir cette semaine avec les chefs d’établissement et je veux leur rendre hommage. On ne parle pas suffisamment d’eux,  les principaux, principaux adjoints, proviseurs,  proviseurs  adjoints. Ils sont en première ligne sur ces questions de laïcité, sur les questions de harcèlement, sur beaucoup de sujets, je vais m’entretenir avec eux, leur donner toutes les clefs pour qu’ils puissent faire appliquer cette règle qui me semble nécessaire et qui est juste ». Gabriel Attal  ignore alors la journaliste qui insiste pendant son monologue en demandant « un texte très précis ? ». « Et les bandanas sur les cheveux? » relance-t-elle, visiblement consciente  que le véritable problème est que tout repose sur une interprétation, au cas par cas, qui laisse les acteurs de terrains seuls responsables. Le ministre reprend : « Il y a des situations qui ont pu se présenter comme ça et les chefs d’établissement ont pris des décisions qui ont été validées par le juge administratif ». Voici là rien de plus qu’un satisfecit pour l’existant, au travers d’un rappel du contenu des fiches du Vademecum de la laïcité qui exposent les textes de référence et les jurisprudences correspondantes. Laisser aux seuls acteurs de terrain une responsabilité d’appréciation, bien plus lourde que la simple application d’un texte clair, semble être le cap à maintenir. Cela n’est pas sans rappeler la piste de l’expérimentation de l’uniforme, limitée aux établissements demandeurs, évoquée récemment par Gabriel Attal, qui, elle aussi, signe un choix d’ajustement territorial basé sur les décisions des acteurs locaux.
Pourtant, le ministre est conscient de la pression que subissent les responsables locaux et du besoin de clarifier le cadre de leur action.  Il prétend y apporter une solution : « Il y a vraiment sur cette question de l’abaya, je l’ai mesuré en échangeant avec des chefs d’établissement cet été, avec leurs représentants, une attente de règle claire au niveau national, elle est donc donnée ». Sous quelle forme ? Une loi ? Un décret ? Une circulaire ? Une note ? Aucun de ces mots techniques et précis n’a été prononcé. Bien de chemins plus ou moins courageux et concrets sont donc ouverts, ce qui appelle à la prudence. Certes, nous sommes un peu plus loin qu’un Pap Ndiaye refusant de nommer la chose à interdire, mais les arguments de ce dernier, lorsqu’il soulignait l’impossibilité de lister tous les vêtements à interdire, demeurent. Tout comme demeure floue la part de responsabilité qui incombera aux  échelons locaux. Car tout est là : la publication d’une loi très précisément rédigée au sommet de l’État n’est pas une réponse de même nature qu’une simple possibilité, donnée par une note, d’inclure localement une interdiction dans le règlement intérieur d’un établissement scolaire. Par l’expression  « donner toutes les clefs », Gabriel Attal ne nous éclaire en rien sur ses choix. Nous n’en sommes donc, pour l’instant, qu’à une parole performative et un peu de brosse à reluire pour les personnels de terrain qui, depuis des années, sont seuls au front. Il serait donc plus sage de ne point trop nous réjouir pour ne pas contribuer à donner une matérialité factice à ce qui pourrait n’être qu’un effet d’annonce sans consistance réelle, comme l’ont été les propos de ce même ministre sur l’uniforme à l’école • 

[1] Plan Personnel de Réussite Educative,  Plan d’Accompagnement Personnalisé, Projet Personnalisé de Scolarisation, Activités Pédagogiques Complémentaires.



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est enseignante et ex-directrice d'école.

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